« La plateforme des pétitions de l’Assemblée nationale permet aux citoyens d’adresser des pétitions à l’Assemblée nationale et de signer des pétitions déjà déposées.
Chaque pétition est attribuée à l’une des huit commissions permanentes de l’Assemblée nationale, en fonction de la thématique qu’elle aborde. Les pétitions ayant recueilli au moins 100 000 signatures sont mises en ligne sur le site de l’Assemblée nationale pour plus de visibilité.
Après attribution de la pétition à une commission, les députés de la commission désignent un député-rapporteur qui propose ensuite soit d’examiner le texte au cours d’un débat faisant l’objet d’un rapport parlementaire, soit de classer la pétition.
La Conférence des présidents de l’Assemblée nationale peut également décider d’organiser un débat en séance publique sur une pétition ayant recueilli au moins 500 000 signatures, issues d’au moins 30 départements ou collectivités d’outre-mer. »
Il faut donc continuer à la signer, pour que cette condition soit assurément remplie, pour qu’un prétexte habituel ne soit pas invoqué pour empêcher un tel débat en séance publique.
https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014



Mise à jour du 20 juillet 2025

Seconde mise à jour du 20 juillet 2025

Pourquoi la loi Duplomb est-elle jugée si scandaleuse par tant de citoyens (tant et pourtant, nous sommes loin de plusieurs millions…) ?
C’est que, dans un contexte général où la politique gouvernementale se résume à des agressions contre la majorité civique, la loi Duplomb est un symbole, de cette violence politique qui, A REBOURS DU DROIT, autorise des factions à porter préjudice aux autres citoyens. Or c’est précisément ce qui définit la politique capitaliste et néo-libérale en cours : peu importe les préjudices, il faut permettre aux violents, ploutophiles et ploutocrates, d’accroître leur fortune, quoiqu’il en coûte à la majorité et aux finances publiques. Les « gains » des uns sont conçus comme provenant des « pertes » des autres, et les lois s’empilent pour protéger les gains des uns, en leur garantissant une impunité : les lois deviennent le moyen de protéger des nuisances et des nuisibles. Cette décorrélation des lois avec « le Bien » ne date pas d’aujourd’hui, puisqu’elle est le fait du machiavélisme, dans le texte du Florentin, mais, depuis la pseudo « Renaissance », elle n’a cessé d’être affirmée, confirmée, amplifiée. Or ce machiavélisme est contradictoire : s’il ose affirmer l’inexistence ou l’insignifiance du Bien, il ne le fait pas disparaître, mais en propose un simulacre, « l’intérêt ». Et si des agents pensent et recherchent un intérêt, monétaire, via des moyens néfastes, ils ne souhaitent pas que ces effets négatifs les affectent : le cancer des autres, quelle importance, tant que moi, je n’ai pas de cancer. Or les adeptes de ce type de principe, la différenciation positive/négative, qui caractérise par ailleurs le racisme, vivent dans des espaces protégés, mangent une nourriture contrôlée, ont accès aux meilleurs médecins et moyens médicaux. EVIDEMMENT, ils sont dégueulasses ET débiles, puisque les substances chimiques dangereuses circulent avec les mouvements atmosphériques, les eaux, pénètrent l’épiderme humain, une éponge, le sang, sont dans l’eau et les autres liquides que nous buvons. Il n’y avait pas de frontière capable d’arrêter le nuage de Tchernobyl, le dit nuage ne s’est pas arrêté à la frontière, et des millions d’Européens ont été affectés par. Mais de QUEL DROIT de tels législateurs décident-ils qu’ils peuvent autoriser des pollutions néfastes ? En tout cas, ce n’est pas le droit général, mais, précisément, ils OSENT contredire ce droit, en votant de fausses lois, infondées, scandaleuses. Mais si le droit français dit une chose, « il est interdit de porter préjudice à autrui », mais que le système législatif peut faire adopter une loi qui ainsi porte préjudice à autrui, qu’il s’agisse de cette loi ou de celle sur les retraites (puisque la contrainte à un travail prolongé, dans une vie par essence unique et finie, constitue un vol du temps personnel), c’est donc que dans le droit général, avec, la Constitution, le système politique, il y a des contradictions qui le rendent caduque, et imposent ainsi une situation de non-droit, où seule domine la force de l’arbitraire. A cet été 2025, cet arbitraire s’appelle Duplomb, comme au niveau international, cet arbitraire s’appelle Netanyahou. Il faut donc donner de la cohérence, du sens, de la force, au droit, national et international.