Un écosystème médiatique parisien, « de gauche », qui prétend parler et agir contre l’extrême-droite, SAUF QUAND il s’agit des sionistes pro Israël, un Etat d’extrême-droite…

Dans un environnement médiatique général, dominé par ceux qui sont sous la tutelle de l’Etat et ceux qui sont sous le contrôle de milliardaires et de grands groupes capitalistes, quelques médias s’auto-baptisent, « indépendants », et disent ou laissent dire qu’ils sont « de gauche », surtout lorsqu’il s’agit de parler sur et contre l’extrême-droite, ce que font principalement des citoyens et des organisations politiques de gauche.

Dans cet écosystème, il y a Libération, Arrêt sur Images, Médiapart. Pour les rédacteurs et sympathisants de ces médias, il va de soi qu’ils seraient « de gauche », puisque, la preuve, ils parlent, pensent, s’expriment, sur et contre l’extrême-droite. On a même vu ces médias travailler de plus en plus explicitement et activement sur celle-ci.

MAIS les mêmes n’hésitent pas à :

• soutenir publiquement, explicitement ou moins, le PS, pourtant un parti de droite
• soutenir Raphaël Glucksmann, le plus à droite de cette ligne PS, un va-t’en-guerre atlantiste
• soutenir Israël, son Etat, son gouvernement, avec toutes les implications dans ce soutien
• mettre en cause publiquement et activement celles et ceux qui s’opposent au sionisme, à Israël, par l’accusation d’antisémitisme, à l’instar de ce que dit le premier ministre israélien qui est à la tête d’israël depuis 20 ans
• choisir des interlocuteurs juifs, sionistes, y compris pour faire mine d’avoir une distance, d’être en désaccord, au moins partiel (comme ci-dessous, avec Nathan Devers, frauduleusement présenté comme un « philosophe », alors qu’il n’a aucune oeuvre attestée, ouverte, étudiée, et on ne confond pas livres publiés et oeuvre). Daniel Schneidermann a le goût de « dialoguer » avec celles et ceux qui se définissent par leurs mots et leurs actes comme des juifs sionistes. Les juifs anti sionistes, français et autres, sont interdits d’antenne sur ASI, comme sur Libération et Médiapart.

Or Israël, comme le révèle ses gouvernements depuis 20 ans de manière toujours plus claire, est un Etat d’apartheid, DONC un Etat d’extrême-droite.

En France, la stigmatisation de LFI et de la gauche reproduit le langage de l’extrême-droite, du RN FN, de Zemmour, et des franco-israéliens, liés au Likoud ou à d’autres groupes politiques israéliens, encore plus à droite. Ainsi, un visuel concernant Hanouna a été accusé de reproduire un visuel nazi, comme si le visage d’Hanouna, clairement montré dans ce visuel, pouvait être identifié à celui que les nazis exposaient dans une de leurs célèbres affiches antisémites…

ASI a osé mettre en avant Jonas Pardo, comme s’il était un interlocuteur sérieux, crédible, à écouter et suivre, alors que sur ces sujets, il se contente de DIFFAMER sans jamais pouvoir démontrer la réalité de ses accusations.

Et après, l’un d’eux ose demander pourquoi si peu des visiteurs de son site sont des abonnés de…

Aujourd’hui encore, tant des dirigeants et des cadres de ces quelques médias ne seraient pas gênés par l’élection d’un(e) président(e) d’extrême-droite, mais celle d’un Jean-Luc Mélenchon paraît les faire vomir à l’avance. Clairement, ils agissent contre, en soutenant un Raphaël Glucksmann dont la vacuité et la fausseté sont plutôt évidentes pour la majorité des citoyens.

Il y a le même niveau de haine/mépris dans ces médias envers nous, envers les citoyens et les organisations réellement de gauche, que dans les rédactions des pires torchons et chaînes de télévision d’extrême-droite.

Ce même écosystème médiatique parisien a condamné la pétition qui a mis en cause l’attribution du rôle de Gisèle Halimi par Charlotte Gainsbourg. Des sophismes divers ont circulé sur cette pétition et son propos. Nous avons soutenu cette pétition, en avons longuement parlé ici : https://racisme-social.blog/gisele-halimi-interpretee-par-charlotte-gainsbourg-attal-dans-un-film-gisele-pour-2026-une-provocation-une-exploitation-un-detournement Elle peut être encore signée. En effet, le film sortira dans quelques mois, et il faudra, à cette occasion, dénoncer publiquement cette exploitation/colonisation de tout et de tous par des personnes qui font l’éloge d’un séparatisme raciste.